Bonjour tristesse,
Avec ton ivresse
Et cette absolue détresse.
Elle est loin l’hôtesse
De l’amour, la prêtresse,
Maudite gonzesse.
Envolées tes caresses
Et tes jolies fesses.
Adieu ta tendresse,
Finies tes promesses,
Sous les averses,
Ma petite tigresse.
Je t’ai aimée avec maladresse,
Elle est dite la messe.
N’ouvre pas les parenthèses,
Pour que demain tu disparaisses
Et pour toujours tu me délaisses.
Il ne me reste plus que l’épaisse
Lourdeur que je déverse
De cette absence qui me blesse.
Il faut que je me redresse,
Et quitter cette forteresse,
Oublier ton adresse,
Pour qu’un autre amour renaisse,
Et qu’à nouveau il me berce.
Je vais reprendre les voies de traverses
Et puis, tu n’auras pas ton sac Hermès